Voici un autre vernis que vous pouvez souvent voir sur ce site quand les beaux jours sont là, il s'agit effectivement de l'un de mes chouchous, le Miss Conduct !

Je l'adore pendant l'été puisque c'est à cette période, sous un soleil caniculaire, qu'il révèle ses plus beaux reflets holographiques.

C'est aussi pour cela que je l'ai choisi afin de m'accompagner pendant mes vacances, début juillet. On ne change pas une équipe qui gagne.

 Sayumi s'ennuie en attendant le train. Sayumi prend donc ses ongles en photo

sur le quai.

Sayumi découvre Montjuïc, trouve une fleur assortie à ses ongles et enquiquine

tout le monde pour prendre une photo vite fait.

On continue dans la série des vieux vernis avec ce Yes Love qui avait déjà fait une apparition sur mes pieds.

Alors aujourd'hui, voici la version mains, pour les phobiques du peton.

C'est un joli vernis rose, mais pas fuchsia, il a un petit côté légèrement orangé, dirais-je, qui le rend très estival.

Je ne l'ai évidemment pas décoré. Canicule, tout ça, quoi.

Qui dit "été" dit "grosses chaleurs", qui dit "grosses chaleurs" dit "flemme de Nail Art-er", et qui "flemme de Nail Art-er" dit "on ressort les vieux vernis".

Donc, oui, ce vernis, vous le voyez quasiment tous les étés, mais fait trop chaud pour que je sorte les pinceaux, donc flûte.

Plaignez-vous à Météo France, na.

Bonjour !

Voici un nouveau Yes Love, d'une couleur à mi-chemin entre le fuchsia et le violet que je n'arrive pas à définir, mais qui est plutôt jolie.

Il est très laqué, sèche relativement vite et a une bonne tenue.

Hey !

Pour une fois, voici un Yes Love que j'ai détesté. Dans le flacon, il m'inspirai confiance, on aurait dit un joli violet avec quelques paillettes plus foncées.

Ouais, mais non.

En fait, ce sont... Des grains ? Bref, ça donne un aspect bien dégueulasse au vernis une fois posé, style "je me suis cognée un peu partout". J'ai pas du tout aimé, je ne l'ai appliqué que sur un main le temps de prendre trois pauvres photos, et zou, tu dégages le vernis, au fond d'un tiroir et on en parle plus.